La défaite de la gauche en Auvergne-Rhône-Alpes est évidemment une déception. Je veux saluer Jean-Jack Queyranne et les candidats qui l’ont accompagnés, particulièrement en Isère. Ils ont mené une campagne claire et digne, tirant la politique vers le haut.
Au plan national, aucune région ne sera dirigée par l’extrême droite, c’est heureux. Face à cette menace la gauche rassemblée a été claire. Elle a contribué activement à la victoire de la République face au nationalisme et la xénophobie dans les régions où ils constituaient une menace.
La gauche résiste, en France avec cinq régions, en Isère où nous sommes en tête, et à Vienne. Nos résultats ne sont pas décevants loin de là, dans un contexte pourtant défavorable. Le rassemblement de la gauche a montré une nouvelle fois qu’elle était la seule solution pour faire gagner nos projets et nos valeurs.
Sur la circonscription, Dominique Roux a été élue et je m’en réjouis. Elle est un nouveau visage en politique. Elle représentera nos idées et le pays viennois au sein du Conseil régional avec un regard renouvelé.
Le danger de l’extrême droite n’est pas écarté. La gauche est aujourd’hui la seule qui se place au premier rang du combat contre les pensées de la droite extrême, par les valeurs que nous portons et la clarté de nos positions. C’est aujourd’hui un combat vital pour la France et les français.
Nous allons nous y engager, plus déterminés que jamais.]]>
Des résultats décevants en Rhône Alpes, des défis pour demain pour une gauche rassemblée
